jeudi 30 juin 2016

In French: why France is against Frederic Vidal?


La France des Droits de l'Homme

LA FRANCE DES DROITS DE L'HOMME
 
par Frédéric Vidal
 Introduction
 
Docteur en sciences de l'information et auteur d'œuvres littéraires populaires, je suis écrivain et ancien chercheur en sciences sociales. L'échec de mes projets de commercialisation, du début à la fin de ma carrière actuelle (1977 avec le groupe Punk BRAMSTOCKER jusqu'en 2015 avec le scénario du film French Cop: Blackout) apparaît correspondre à un a priori négatif de la France à mon égard.
 
La responsabilité de l'Etat et de ses dirigeants me semble indéniable et marquée par une incompréhension croissante envers mes différents domaines d'activité (musique, cinéma, Internet, politique). L'objectif qui est le mien d'éditer cette dissertation à Paris et dans le monde entier s'explique par le fait qu'en tant qu'américain d'adoption, je veux être un exemple de français vigilant pour ls droits civiques.
 
Le totalitarisme et la dictature sont-elles des notions qui s'appliquent à la France ? Mes parents symboliques, les deux derniers Présidents de la République, Sarkosy et Hollande, mère et père, nous ont déçu sur la démocratie française. A la Caisse des dépôts, j'ai appris combien l'histoire compte autant que la justice.
 
En première partie, j'étudie les raisons pour lesquelles je n'ai pas été en mesure de m'intégrer au dispositif politico-médiatique français de 2011 en 2015. En seconde partie, je reviens sur le fait que mes créations sont issues d'un univers culturel alternatif, qui prête à critiques quand il n'est pas protégé par les pouvoirs publics.
 
Décisions du Conseil d'Etat incriminées, en dernière instance de l'ordre judiciaire français :
Ordonnance N°383392 du 20 octobre 2014 rejetant ma requête du 4 août 2014 demandant au Conseil d'Etat d'annuler le jugement N°1401450 du 1er juillet 2014 par lequel le Tribunal Administratif de Nice a rejeté ma protestation tendant à l'annulation de l'élection de M. Christian Estrosi en qualité de maire de Nice ainsi que des adjoints au mairie par le Conseil municipal du 4 avril 2014.
Ordonnance N°385128 du 26 janvier 2015 rejetant ma requête enregistrée le 14 août 2014 et le 5 janvier 2015 demandant au Conseil d'Etat d'annuler le décret du 25 août  2014 portant nomination du Premier ministre, suite à l'Ordonnance N°377430 du 5 mai 2014 rejetant la demande d'annulation du décret du 9 avril 2014 relatif à la composition du gouvernement.
 
 
I. La demande Pro Domo à la Cour européenne des droits de l'homme en annulation des décisions du Conseil d'Etat
 
A. Ostracisme de l'Etat envers ma carrière
 
a. Ma demande pour être Secrétaire d'Etat est restées sans réponse
 
1. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, j'ai fait part de ma candidature pour obtenir un poste de Secrétaire d'Etat. L'absence de réponse à ce jour m'est apparu signifier l'existence d'un problème de notoriété.
Bien que j'avais compris que l'Etat m'était néfaste dans une certaine mesure car il refuse en France toute initiative qui le concerne à la base, j'ai proposé à Manuel Valls, Premier ministre, et François Hollande, Président de la République, d'être en charge de l'Internet. Déjà en 2002, j'avais offert mes services au Président Sarkosy pour être son Premier ministre mais il ne m'a jamais recontacté.
 
2. J'ai adhéré au Parti Socialiste en 2000 et à nouveau en 2011 après mon retour en France après 8 ans d'expatriation aux Etats-Unis. Précédemment proche de la droite en tant qu'intellectuel, je redoute d'avoir été remarqué négativement.
Auteur à succès d'un blog sur Wordpress (1M 500 000 vues en 2010), grand diffuseur de tweets sur Twitter et utilisateur permanent de Facebook avec près de 2000 amis, j'ai probablement dérangé la classe politique française en proposant des projets de réformes (une 7e République, être le 51e Etat de l'Amérique et constituer une fédération de partis sous le nom de Pouvoir Présidentiel).
 
b. L'Etat considère qu'il n'a pas plus besoin de me services
 
1. Fondateur de l'entreprise individuelle POST SCRIPTUM en 2011 à Nice pour les métiers du cinéma et de la musique, je n'ai pas pu obtenir de contact au Centre national de la cinématographie, ni auprès de mon dernier dernier employeur, la Caisse des dépôts et consignations à laquelle j'ai été affecté pendant 15 ans (1987-2002) en tant qu'attaché d'administration centrale, fonctionnaire de l'Etat français, après avoir réussi brillamment le concours des IRAs et mon année de formation d'élève-fonctionnaire à l'IRA de Bastia (1986-87). J'ai été contraint à la démission en 2002, ce qui m'a conduit à émigrer en Amérique.
Désormais acteur à Hollywood, membre de la Screen Actors Guild depuis 2005, naturalisé américain en 2006, j'ai voulu écrire un scénario original de film pour réussir ma carrière dans le cinéma. Mais le French Cop est un projet qui m'a conduit à être mis à l'écart en France, n'obtenant aucun contact utile auprès de la population et des entreprises.
 
2. La question se pose de savoir si l'Etat français n'est pas allé plus loin en me refusant également l'accès aux médias dans la mesure où je suis apparu à ses yeux dysfonctionnel, apôtre de l'Internet social, promoteur indépendant, en tant qu'ancien attaché et nouvellement binational.
J'ai, à plusieurs reprises depuis 4 ans, contacté la presse pour lui diffuser des communiqués relatifs à l'avancée de mes activités, sans que jamais je ne reçoive la moindre réponse. Cette absence de communication me paraît coordonnée par une action de censure à mon égard, exercée par l'Etat et sa justice qui m'incriminerait en secret.
 
B. Le refus de la Municipalité de Nice de m'intégrer en ville dans la population
 
a. J'ai souhaité me présenter aux élections municipales l'année dernière en 2014
 
1. Mon ambition politique d'intégration à la Ville de Nice m'a valu une remise en question quand j'ai appris que le Parti Socialiste local refusait de me maintenir sur la liste définitive de ses candidats en 2014 et j'ai du continuer seul une campagne perdue d'avance.
Vice-Président puis Président du RJR dans les années 80, favorable à la Municipalité de Jacques Médecin, j'ai forcément pâti de la mise en accusation judiciaire, de l'emprisonnement et de l'exil à Punta del Este, Urugay de l'ancien Maire de Nice auquel on m'a trop associé (il était taxé de corruption et de liens avec la mafia).
Des a priori fortement orientés contre moi ont, me semble-t-il, émergé concernant ma participation plus de 30 ans après, à l'épisode de la victoire de Jacques Médecin en 1983 aux Municipales que lui avait valu de l'emporter au premier tour. Aucun de mes amis de l'époque n'a souhaité me revoir ou s'associer à moi comme si j'étais victime d'une vindicte populaire.
 
L'actuel Maire, Christian Estrosi, qui était un des lieutenants de Jacques Médecin, m'a très clairement refusé en 2011 le maintien de son amitié et de son soutien en me tenant à l'écart de la mairie bien que me sachant isolé et appauvri, même si j'étais  plus que jamais fidèle à notre passé commun.
 
b. Mon retour en 2011 pour des raisons liées à un héritage n'a pas été du goût de tout le monde
 
1. Absent de Nice, pendant très longtemps, bien qu'elle soit ma ville natale, j'ai toujours voulu en rester proche alors que j'ai dû travailler 15 ans à Paris puis aux Etats-Unis de 2003 à 2011, dans le cinéma sans réussir à me faire remarquer, sauf par des gens décidés à me nuire sans doute.
François Hollande était en 1983 le Chef de Cabinet de Max Gallo, Ministre et porte-parole du Gouvernement français, également candidat au poste de Maire de Nice alors que Laurent Fabius, actuel Ministre des Affaires étrangères, était Premier Ministre de l'époque. Les rivalités de l'époque se sont visiblement pérennisées jusqu'à nos jours.
 
2. Après le décès de ma tante, Jacqueline Haim-Vittone, j'ai choisi de demeurer à Nice en tant que son successeur, héritier de son appartement du 10, avenue Notre-Dame qu'elle au testament qu'elle avait laissé en ma faveur mais la mairie ainsi que le réseau des gens que ma famille connaissait sont restés à l'écart de mon parcours sans que je l'ai souhaité, conduisant à mon exclusion sociale relativement forte, digne d'un boycott.
Le refus initial du Notaire de terminer la procédure d'héritage à la suite de ma décision de reprendre ma résidence à Nice en 2011, démontre l’âpreté de la Présidence Sarkosy contre mes intérêts, qui s'est confirmée dans la Présidence Hollande.
 
II. La reconnaissance en Mea Culpa à la Cour européenne des droits de l'homme d'une diffamation basée sur des faits réels,
 
A. Mon film n'a pas pu convaincre les ennemis de la culture de son bien-fondé
 
a. Mon scénario French Cop ressemble maintenant au film 50 Nuances de Grey pour se faire plus attrayant
 
1. J'ai dû donner l'image avec le site Myspace, tout d'abord en 2007, d'une carrière américaine trop basée sur les relations superficielles entre individus liées à un esprit de romance qui proviendrait d'un excès d'Hollywood. Cet excès sentimental m'a été fatal.
Le harcélement sexuel relatif dont j'ai fait l'objet avec l'impossibilité de trouver quelque femme que ce soit pour me fréquenter et partager ma vie à Los Angeles s'est poursuivi en France avec certainement une campagne à mon encontre.
 
2. Souhaitant affirmer clairement mon engagement en faveur de la liberté d'expression, y compris personnelle et sexuelle, j'ai décidé en juillet 2014 d'orienter mon projet de film principal vers l'Adult Entertainment pour contrecarrer les critiques qui déjà l'accusait d'être trop axé sur les femmes.
Mon film French Cop a fait l'objet, semble-t-il, d'une ingérence permanente depuis 2006 par la France qui en a vu le danger, selon elle, d'un film indépendant réalisé par un cinéaste sans autorisation, pour la diplomatie française qui ne veut pas d'une mauvaise image de marque.
 
b. Bien que satirique, j'étais accusé d'être fantaisiste à tort
 
1. L'arrivée du film 50 Nuances de Grey a marqué l'année 2015 qui commence par une reconnaissance d'une libéralisation des esprits en faveur de l'amour au cinéma, ce qui m'est favorable malgré toujours autant de difficultés pour filmer en France.
Le sujet du film French Cop d'origine consiste en une histoire d'amour entre un français, Vincent Sauvan, et une américaine, Patricia Hunter, confrontés à une affaire policière concernant la CIA et le kidnapping d'une russe Natasha Stanislavsky, retrouvée à Paris par le couple. Rien de tendancieux : une histoire exemplaire d'amour et de guerre qui aurait, néanmoins déplu à la France de De Gaulle, toujours présente à travers le PS, l'UMP et le FN.
 
2. Considéré à tort comme une personne dangereuse pour les femmes, je poursuis mon œuvre intellectuelle de projets de films dont j'ai la propriété pour une exploitation aussi pour le grand public d'un merchandising qui m'est refusé.
La rédaction d'autres scénarios (German Spy, Parallel People, Past Machine, etc.) m'a permis de constituer un univers French Cop dont je n'ai pas pu réaliser la commercialisation de films et de produits dérivés, faute de financement alors que le cinéma est associé à la femme et que celles-ci restent contraintes de ne pas me suivre.
 
B. La censure visiblement était la seule solution pour faire taire mon groupe
 
a. Déjà en 1977, BRAMSTOCKER s'était heurté au refus des maisons de disques
 
1. La violence était trop attachée au Punk d'origine alors qu'on a pu noter le caractère satirique et positif de nos idées en faveur d'un nouvel ordre culturel et économique mondial et l'Etat français ne fut pas enclin à nous soutenir.
En 1977, alors que les Sex Pistols triomphaient en Angleterre, un contrat avec la maison de disques Trema nous a été refusé alors que nous étions à Paris pour un concert au Golf Drouot et un 45 tours prêt à être pressé avec un enregistrement de très bonne qualité (la chanson 'Malgré les lunettes noires') mais notre politisation aurait déplu aux pouvoirs publics.
 
2. Tristement renvoyés à nos origines sans pouvoir accéder à la gloire d'avoir des disques vendus en grand nombre et diffusés, notre légende a pu s'épanouir bien que contrariée par les contrôles de moralité, internes au show biz ou de caractère administratif.
En France, le rock n'est pas bien vu car facteur de désordre, de drogue et de mauvaises mœurs selon les autorités. Partout, beaucoup n'ont pas oublié BRAMSTOCKER et le souvenir demeure bien qu'il contrarie ceux qui nous présentent encore comme des délinquants.
 
b. Le Punk n'encourage pas forcément à la marijuana et aux drogues dures mais est un danger selon ses détracteurs
 
1. Je suis en 2015, le survivant du line-up initial de BRAMSTOCKER, le dernier des musiciens d'origine, probablement accusé par certains pour me nuire, de trafic de drogues, étant donné que le chanteur d'origine a passé 5 ans en prison. 
J'apparais comme quelqu'un taxé d'immoralité, ce qui est faux, alors que l'immoralité d'un autre, François Hollande, Président de la République, est notoire avec son « harem » d'actrices médiatiques comme Julie Gayet qui lui a fait perdre sa femme, Valérie Trierweiler.
 
2. Diffamé par les uns, encensé par les autres qui doivent demeurer prudents car une répression policière serait toujours à craindre les concernant s'ils voulaient m'aider, je demeure sans moyens, ni soutiens réels avec une nouvelle chanson pour réussir.
SILLY, que j'ai écrit aux Etats-Unis en 2009 et enregistré en studio en décembre 2014, a comme en 77 été refusée déjà par des dizaines de maisons de disques qui n'ont pas répondu à mon email de fin décembre. Cet empêchement de carrière auquel on me contraint en France est à mettre sur le compte d'un pays totalitaire qui ne me donne aucune chance d'exister.
 
Conclusion
 
Je demande à la Cour européenne des droits de l'homme de condamner la France pour atteinte au respect de la liberté d'expression et du principe d'égalité devant le service public, afin que mon pays d'origine puisse proposer à tous les artistes contemporains comme moi, Frédéric Vidal, les moyens de réaliser leur œuvre et de la diffuser dans la population ainsi qu'à l'étranger.

Des faits troublants qui remontent à ma naissance en 1959 doivent faire mettre l'accent sur le rôle qui a pu être tenu par la Principauté de Monaco contre moi, liée à la Princesse d'origine américaine Grace Kelly, alors que mon père, l'artiste-peintre Ignasi Vidal, a conservé sa nationalité espagnole jusqu'à la mort, après avoir émigré en France puis à Monaco, à la suite de la guerre d'Espagne, dans les années 30 et 40.

Trois autres fils de peintres sont actuellement au pouvoir : Nicolas Sarkosy, Président de l'UMP, François Hollande, Président de la République et Manuel Valls, son Premier ministre, lui-même espagnol et catalan de Barcelone comme mon père Ignasi Vidal. Les deux premiers (Sarkosy et Hollande) furent mes collègues de promotion à Sciences Po Paris, l'Institut d'études politiques, l'un en temps réel (de 79 à 81), l'autre à l'époque à l'Ecole Nationale d'Administration (ENA) après sa scolarité à Sciences Po et avant d'être affecté à l'Elysée par le nouveau Président François Mitterrand.

Je fais remarquer qu'il est possible que depuis De Gaulle qui probablement voulait une République autoritaire en créant la Ve et dont Mitterrand était le principal opposant bien qu'un partisan dévoué de la nouvelle République, j'ai fait l'objet d'un fichage et d'un suivi qui m'a conduit à être placé sur "liste noire" et, peut-être d'avoir constitué, par l'actuelle DGSI qui réunit les anciens services des Renseignements Généraux et de la DST ou directement par l'Elysée ou Matignon, un dossier secret me pénalisant de toute carrière publique. Sarkosy, Hollande, et Valls auraient été, dès leur enfance préparés, par le pouvoir Gaulliste et ses services administratifs et secrets, à occuper des fonctions qui auraient pu être les miennes pour m'empêcher de les obtenir, en continuant toute leur carrière à être soutenus contre moi.

J'ai encore remarqué ces dernières années une volonté de networking et d'organisation de réseau politique, social et culturel, orienté d'une manière qui me soit néfaste avec la venue emblématique à Paris de l'actrice américaine Blake Lively qui est devenue une ambassadrice de charme de la marque de haute couture française Christian Dior. A aucun moment, il ne m'a bien sûr été possible, même à Cannes de la rencontrer, alors que j'avais fait part sur l'Internet, dans les années 2000, de mon intérêt pour elle, à la fois pour figurer dans mon film French Cop et à titre personnel et sentimental.

J'ai le sentiment de vivre dans un pays, la France, qui ressemble depuis l'arrivée du Président Sarkosy, encore beaucoup plus qu'avant à l'ancienne URSS ou à la Russie de Poutine, avec une démocratie par trop limitée qui ne correspond pas aux normes  garanties par la Convention européennes des droits de l'homme.

Américain d'adoption, je compte repartir prochainement en 2015 aux USA pour participer à la campagne de l'élection présidentielle de 2016 et contribuer dans ce pays aussi au combat permanent pour que les droits civiques et les libertés publiques de tous soient respectés et jamais déniés et oubliées. Aux Etats-Unis, je me sens plus protégé qu'en France et je suis fier de m'y affirmer candidat à la Présidence afin que les minorités que je souhaite représenter soient associées à la campagne qui s'annonce historique pour le remplacement du Président Barack Obama, le premier noir à avoir occupé à la Maison Blanche.

Frédéric Vidal

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire